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J.E.A : édition 2024, la CUD diagnostic le handicap mental chez les enfants.

Photo du rédacteur: Vichal DikoboVichal Dikobo

En prélude à la Journée de l’enfant africain édition qui se célèbre le 16 juin prochain, la Communauté Urbaine de Douala organise du 11 au 18 juin 2024, une vaste campagne de diagnostic du handicap mental chez les enfants de 0 à 18 ans au Centre Multifonctionnel de Bepanda. Une initiative saluée par les parents

« J'ai reçu l'information dans notre eglise, c'est pour cela que jai pu amener lenfant qui a 4 ans. Au départ je ne savais pas de quoi il souffrait, mais à mon arrivée ici, on m’a édifié sur les symptômes de l'enfant. Tout en me rassurant que j'étais sur la bonne voie et que j'ai toqué à la bonne porte, je me sens maintenant bien car je sais désormais que mon petit-fils souffre juste d’un retard de langage, qui peut etre améliorer. Le suivi et la prise en charge vont être observés pour l'enfant » déclare Mme essoh, grand-mère du jeune patient.

Ces jeunes patients bénéficieront de l’appui des professionnels de la santé qui ont été mobilisés pour détecter les différentes déficiences et par la suite proposer des soins appropriés.

Pour le Dr EBELLE LENGUE RICH ARTHUR, de l’association Good Doctor

Le but de cette campagne est de dépister chez les enfants une deficience intellectuelle. Le constat est que ces enfants sont le plus souvent écartés dans la société. Il est donc important pour nous d'enlever le voile qui se cache derrière ces déficiences et d'informer les parents de la maladie dont le patient souffre. D'autres parents pensent que leurs enfants sont autistes, et pourtant, ils ont juste un retard de langage. Au regard de tout, il sera alors important pour nous de voir dans quel cadre de maladie il se situe, et ensuite apporter une prise en charge une conduite à tenir et un suivi qui va permettre à plusieurs spécialistes d'apporter leurs expériences et de pouvoir prendre en charge le patient.

L’Objectif de la CUD est d’attirer l’attention des communautés sur ces enfants, qui sont pour la plupart des cas des enfants issus des milieux défavorisés.

« le choix de cette activité part du fait que nous sommes sûrs de rassembler tous les acteurs intervenants pour ces enfants à commencer par les parents, qui auront le devoir de les amener pour évaluation qui est programmer et ensuite les médecins qui feront l'évaluation, les travailleurs sociaux pour leur role d'encadrement des enfants pendant l'attente tout en organisant leur passage ou sejour dans le centre, et par la fin, les professionnels de santé. Pour les professionnels, nous avons choisi les médecins généralistes » déclare Alice MBAPPE EYOUM, sous-directeur en charge de la promotion du genre à la CUD

Au regard de la situation, plusieurs difficulté sont observées chez les parents

« face à cette situation, ils ne savent pas toujours ou commencer. Plusieurs commencent au hasard et n'ayant pas trouver de solution, vont enfermer les enfants à la maison, d'autres parcours plusieurs centres en dépensant d'énormes sommes d'argents sans resultats et parfois ce sont des enfants qui sont né des familles très défavorisées ». Ajoute

Alice MBAPPE EYOUM

Soulignons que les enfants atteints de ce handicap peuvent être indépendant si le suivi est observé, car ils ne sont pas malades, mais ils ont juste des limites.





VICHAL DIKOBO S

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